Entrainement

Arthur entra dans la caserne. Il salua son instructeur qui enseignait la technique de la phalange a des jeunes recrues. Arthur portait sa cuirasse de bronze qui luisait a la lumière du soleil au dessus de sa tunique. Il portait aussi se cnémides de la même matière. A sa ceinture pendait sa falcata et il portait au bras gauche son aspis koilè. Il déposa son arme puis il se mit sur le terrain et commença a courir en armure. Au bout d'une dizaine de tour Arthur s'arrêta. Il récupéra son souffle en faisant quelques étirements. Après avoir réoccupera il pris sa falcata et commença a décrire de large cercle. Il s'imagina un adversaire. Son bouclier et sa lame étaient en parfaite harmonie.

Le roi Léonidas, peu éveillé décida de rentrer dans la caserne. Le soleil brillait dangereusement dans le ciel. Il faisait fondre la force des hommes. La sueur virile et l'étreinte chaude du vent d'été ne firent plus qu'un. Les corps bouillonnants, d'ailleurs au départ, des soldats élites et novices se tiraillait dans le sable des arènes de la caserne.

Léonidas ne venait pas de se lever il avait travaillé chaudement sur le jardin des rois d'antan. Il ne laisse surtout pas de viles jardiniers entretenir ce jardin qui a beaucoup de générations. Non, il veut bien sur le faire lui même.

Donc le roi regardait ces féroces guerriers. Fier, il cria le cri de guerre spartiate. Et tous les soldats se détournèrent et trouvèrent leur roi avec son glaive dans les airs. Ils le saluèrent honorablement et il dit :

-«Spartiates, je suis fier de vous! Vous êtes la gloire de la Grèce. Ainsi ais-je parlé! Mais quelqu'un veux bien se permettre de faire un petit duel avec Léonidas, fils d'Anaxandridas II? Autrefois vous vous battiez avec lui sur les plaines de Corinthe.»

Il regarda le ciel toujours céruléen et attendit que quelqu'un se présente...

Arthur s'avanca. Il ne resistait a aucun defis militaire meme contre le roi en personne. Il admirait son souverain et cela lui plaisait de se battre contre un homme de cette trempe la.

"Sire je releve le defi. Je vous laisse choisir les regles et les votres serontles miennes."

Il deposa son bouclier et s'appuya dessus en attendant la reponse du roi.

-«Les règles... Les règles... Comme dans la coutume, nous le ferons avec le glaive!.» Dit le roi tout fort-aise.

Aussitôt, il dégaina son grand glaive de son fourreau. Dans un clignement assourdissant, il pointa son arme sur son bouclier. Et salua son ''adversaire''.

-«Bats-toi soldat!»

Théodos arrivait juste pour regarder le combat,il adorait regarder son roi dans la guerre et même contre un des ses soldats.Il s'acotta contre le mur puis observa,au milieu d'une foule grandissante.

*Superbe*

Il criat ensuite

-Honeur à Léonidas!

Il regarda d'un sourire Théodos mais à l'instant même Arthur attaqua sur le bouclier du roi. Surprit, il contrattaqua avec sa fureur dans les yeux...

Le roi avait esquivé sa première attaque et avait viollment contrattaqué. Mais Arthur avait tenu sa position en se protégeant avec son aspis koilè. Il reattaqua son roi et les deux lame se rencontrèrent dans une gerbe d'étincelles. Les deux hommes combattait avec fureur,aucun ne donnait de signe de fatigue et aucun ne laissait un centimètre de terrain a l'autre.

Léonidas rit de bon coeur. Il regarda Arthur dans un rictus satisfait et lui donna un coup de bouclier pour le faire reculer. Le roi fit une parade et quelques pas.

Dans un rapide geste, il lui fit une jambette. Celui-ci à terre esquiva l'attaque...

Arthur etait a terre mais il contracta ses abdominaux et reussi a se remettre debout dans un saut. Il se remit en garde pour parer une eventuelle attaque du monarque. Il raffrmi sa prise sur son bouclier et sur son épée et il chargea son adversaire dans un cri puissant. L'epée de l'holite se fracassa sur le bouclier du roi se qui le destabillisa et Arthur lui assena un violent coup de bouclier se qui envoya Leonidas a terre et Arthur posa le bout de sa lame sur la gorge de son roi.

"Gagné ! Merci sire pour ce combat j'ai put combattre contre la personne que j'admire le plus et j'ai pus depasser mes limites. Merci beaucoup"

Il tendit la ùain a Leonidas et releva le roi.

-«Je suis enchanté d'avoir pu combattre un tel adversaire. Vous avez gagné. Je vous n'ai peu être pas gagé, mais que diriez vous de doubler votre salaire?»

Dit le roi, satisfait.

Arthur enleva son casque puis il se passa la main dans les cheveux. Il commenca a partir mais vu une jeune femme dans un coin de l'aire de combat. Il se dirigea vers elle et la salua avant de poser son aspis koilè au sol.



"Bonjour madame. Cela fait longtemps que je n'ai pas vu de femme sur l'aire de combat... Oh excusez moi je ne me suis point présenté. Je me nomme Arthur,hoplite dans la garde du roi. Je ne me souviens pas de vous avoir vu dans la cité puis-je vous demander votre nom ou cela est-il trop indiscret ?"

Elle regardait d'autres soldats se préparant à leur propos combat lorsqu'Arthur s'approcha. Elle lui souria avant de répondre:

"Enchantée, je suis Hestia Julia Orilus. Vous pouvez m'appeler simplement Hestia. C'était un combat plutôt rapide il faut dire..."

Dit-elle doucement avec sa voix crystaline avec un sourire moqueur aux coins des lèvres en regardant l'air de combat ou le roi se tennait toujours.

Arthur rnedit le sourire de la jeune femme.

"Oui en effet ce fut un combat rapide mais on m'a toujours dit et ceci se verifie que plus vite on expedie un combat plus vite on peut s'en prendre a un autre adversaire et ceci est tres utile sur un champ de bataille quand vous riquez votre vie a chaque instant. Et combattre contre le roi donne plus de force et gagner contre cet homme me rejouis plus que tout."

Il sourit dans le vide en regardant le roi sur le sable.

"En vériter je ne m'y connais pas vraiment en combat..."

Mensonge mais cela ne paraîssait pas un seul moment... Elle continua.

"Je viens parfois pour tenter de comprendre vos mouvements...

Et encore la mensonge, quoiqu'il s'y cache un brin de vériter car elle sait tout à fait se servir d'une arme mais ce n'était pas permis aux femme de l'être...

"C'est fascinant toutes ces techniques que vous pouvez utiliser pour mettre un homme manger la poussière."

Totale véritée cette fois!

"Et bien oui en effet c'est assez fascinant mais j'ai de la chance d'etre né a Sparte car ici depuis notre plus jeune age nous commencons a combattre."

Arthur parut reflechir un instant en fixant la jeune femme puis dit avec une voix legerement plus faible.

"Arretez moi si je me trompe mais les regards que vous posez sur les combatants sont trop critiques pour que vous ne connaisiez pas un temps soit peu le metiers des armes. Mais je me trompe surement..."

[hrp] Les femmes de Sparte n'avaient pas le droit de combattre ? Je ne me souviens plus :$ [/hrp]

h.j. dans uns sens... C'est que les hommes trouveraient sa sûrement insultant de se voir terrasser par une femme, non?^^

Elle ramena son regard vers Athure avant de répliquer:

"C'est que se n'est les permiers combats que je vois... Je porte seulement une attention plus grande qu'avant!"

Dit-elle en haussant légèrement les épaules.

"C'est un moyen d'aquérire peut-être un base... C'est qu'on ne sait jamais où nous pouvons finir et dans quelle situation..."

Rajouta t'elle pour donné sa raison de vouloir apprendre à se battre à l'aide d'une épée, mais se qu'elle voulait vraiment c'était montrer que les femmes pouvaient toutes aussi bien porter l'épée que l'homme... C'était une mision plutôt difficile...

Cette idée lui plaisait mais n'ayant pas d'épée pour elle-même, elle ne pouvait pas vraiment ce le permettre... Lors de ses "entraînements", elle utilisait l'une des épées de son père, sans qu'il ne le sâche, bien sur.

"C'est que je croix pas être une combattante hors pair... Et puis, sans équipement, je ne croix pas aller bien loin..."

Dit-elle d'une voix, sourire en coin, quelque peu incertaine mais toujours calme et douce.

"Ne vous inquietez pas c'est en forgeant que l'on devient forgeron. Avec de l'entrainement vous egalerez bientot les hommes. Et pour l'equipement ne vous inquietez pas non plus en tant que soldat j'en ait en reserve meme si mes cuirasses seront surment un peu trop grande mais on s'en accomodera."

Arthur sourit a la jeune femme.

"Le devoir m'appele madame. Quand vous serez prete venez me chercher ici. Aurevoir,ce fut un plaisir de discuter avec vous."

Il remis son casque,salua Hestia et partit en direction des quartiers de la garde royale

le prince Cimon, prince d'Athène pasa à Sparte il venu a la caserne pour s'entrainer. celui-ci dégaina son glaive et fit quelque prise

Stelios, arriva en toute hâte dans la caserne, enfila rapidement son heaume, empoigna son épée et son bouclier et couru vers le roi, une fois placé devant le souverain, il s'agenouilla et prononça ces quelques mots : _"Mon roi, je vous pris de m'excuser pour ce retard plus qu'intolérable, je n'ai guère vu les heures passés et je crain que mon sommeil ne soit impardonnable, si il y a quoi que ce soit que je puisse faire pour ...
_ Stelios ! voyons reprends ton souffle ! Ce n'est pas bien grave, cependant, je souhaiterai que tu commence ton entraînement avec un simple duel avec un très bon soldat. Arthur ! viens donc appliquer les prouesses dont tu as fait preuve pour me vaincre tout a l'heure face a mon garde royal.
Le jeune homme, parlant avec la jeune femme, fût déstabilisé par les paroles du roi, et cette dernière se mit a rire.
_ Je vous demende pardon mon roi, dit Arthur d'une fois confuse, mais je crain ne pas avoir écouté vos dernière paroles qui me concernaient certainement, je discutait avec cette demoiselle, je vous pris de m'excuser.
_ Je te demender de bien vouloir prendre place sur l'aire de combat, tu vas affronter Stelios, un de mes soldats d'élite, mes soldats sont certe puissants, forts et braves, mais ils sont aussi tête en l'air ! Dit Léonidas en poussant un petit rire de bonne humeur.
_ Fort bien mon roi, je suis prêt !

Une fois les deux guerriers en place, le bouclier et le glaive a la main, regardant chacun l'autre dans les yeux, leur sueur répendue sur leur tempe et leur corps par le soleil brûlant de ce mois d'été, le combat allait commencer. Stelios posa son glaive au sol et se donna un coup sur sa poitrine avec son poing comme signe de respect avant de reprendre son glaive, le jeune Arthur exerca le même mouvement, puis sous les ordres du roi, le combat commença. Arthur envoya un coup d'épée vertical vers Stelios qui leva son bouclier pour parer le coup, puis le leva brusquement pour déstabiliser Arthur, enchainant immédiatement après un coup a revers horizontal qu'Arthur para avec son glaive. Ce dernier contre-attaqua avec un coup de bouclier circulaire que Stelios évita en se baissant, puis il se releva en levant son bouclier, donnant ainsi un grand coup à Arthur qui sous la force de l'autre guerrier tomba au sol. Stelios donna un coup de glaive en direction d'Arthur qui roula aussitôt sur le côté lui permmettant de se relever pendant que Stelios termina son coup qui ne toucha que le sol. Et le combat reprit dans des conditions équitables.

Au bout de certain temps, les deux hommes reculèrent, ils se concentaient tous les deux sur leur stratégie, ce moment de réflexion permétait aux deux braves soldats de souffler quelques minutes, puis les deux combattants se mirent a charger l'un vers l'autre le bouclier en avant. Le choc fût lourd, mais Stelios, du haut de ses un mètre quatre vingt dix, ne fût que déstabilisé par Arthur contrairement a ce dernier qui fût tombé sur le dos. Ainsi fait, Stelios envoya un coup de pied dans la main de Arthur qui lacha son arme, et Stelios planta son épée à côté de la tête du perdant comme signe de victoire. Le jeune garde royal lui tendit la main pour le relevé.

"_ Quelle puissance incroyable, je n'ai jamais vu pareille prouesses dans la maîtrise des armes, vos contre-attaques sont plus qu'efficaces ! s'étonna Arthur surpris par sa défaite.
_ C'était un honneur pour moi de combattre un des miens. Répliqua Stelios. Vous êtes certe plus petit, mais votre force n'a d'égale que votre ruse !"